Le design et la conception de bureaux ergonomiques permettent d’agir sur les principales difficultés rencontrées par les salariés sur leurs espaces de travail : mal au dos, fatigue oculaire, baisse de la concentration… Voici 5 étapes à suivre pour mettre en œuvre un plan d’action simple et efficace.

poste de travail ergonomique

1 – Consulter les collaborateurs

Avant d’investir dans du mobilier ergonomique, il faut identifier les attentes des salariés.

Celles-ci peuvent évoluer d’une boîte à l’autre. La moyenne d’âge dans l’entreprise, l’emplacement ou encore l’orientation des bureaux peuvent modifier la liste des priorités. 

Faites circuler un questionnaire « ergonomie et poste de travail » et notez les principaux défauts des espaces de travail existants.

2 – Prioriser les actions d’amélioration

Plusieurs éléments participent à l’ergonomie des bureaux : chaises réglables, bureaux assis debout, écrans modulables… L’aménagement ergonomique des bureaux peut être coûteux, mais cette solution est relativement facile à mettre en place.

D’autres opérations d’amélioration de l’ergonomie des bureaux peuvent être plus contraignantes en raison des travaux. Pour agir sur la luminosité dans le local, il sera peut-être utile d’intervenir sur l’installation électrique afin de poser un nouveau système de luminaires ou de volets roulants automatiques.

Pour ne pas perdre inutilement des journées d’activités, il est important de produire un calendrier d’aménagements et de travaux cohérent pour l’ergonomie et le poste de travail.

3 – Préparer une campagne de prévention

Les vieilles habitudes ont la vie dure. Aussi ergonomique que soit le nouveau mobilier, certains employés risquent de reprendre une mauvaise posture. Pour être rentable, l’investissement matériel doit s’accompagner d’une campagne de prévention efficace.

Pour optimiser l’usage de l’aménagement ergonomique du bureau, il faut savoir le régler selon ses besoins et sa morphologie. Il faut aussi connaître les risques contre lesquels il permet de lutter : notamment les troubles musculosquelettiques (TMS).

4 – Prévoir des pauses et des activités anti-sédentarité

Au-delà du bon usage du mobilier de bureau, l’entreprise peut encourager la pratique d’activités sportives en prévoyant des interventions dans ses locaux (séances de gym, yoga, fitness…), ou en offrant des abonnements à tarifs avantageux dans un centre ou une salle située à proximité. 

L’employeur peut aussi mettre en place des temps de pause favorisant les déplacements autour du bureau. L’organisation de l’espace intérieur peut également être pensée de manière à encourager les déplacements, comme le fait de prévoir des réunions en présentiel dans une salle dédiée, plutôt qu’en visioconférence.

5 – Repenser l’agencement du local

L’ergonomie s’applique aussi à la disposition des bureaux. Où se situent les salles de réunion par rapport à l’open space ? Comment s’articule la communication entre les différents pôles ? Quelles sont les conditions d’accès à la machine à café ou à la cantine de l’entreprise ? 

La manière dont les bureaux ont été aménagés peut freiner ou favoriser les déplacements des salariés dans l’espace de travail. Les cloisons mobiles proposées par Espaces Mobiles permettent d’adapter le local aux besoins de l’entreprise.

Avec des parois modulables, amovibles ou extensibles, il est possible de tester différentes configurations et d’adapter les niveaux de séparation pour répondre à des besoins ponctuels : plus de réunions, moins de postes de travail individuels, plus de collaboration…

Grâce à leur qualité supérieure, les solutions Espaces Mobiles contribuent aussi à renforcer le confort acoustique et la concentration des collaborateurs.